Une nouvelle épisode s'ouvre dans le bras de fer entre les tenants du pouvoir en Algérie et son capitaine d'industrie, l'homme le plus riche du pays et le PDG du plus grand groupe industriel privé, Issad Rebrab.
Après le verdict du tribunal dans l'affaire d'El Khabar et le gel du rachat des actions par une filiale de Cevital, une autre affaire est déclenché contre l'homme payant le prix de son opposition au quatrième mandat de Bouteflika.
A en croire à Mondafrique, Issad Rebrab fait l’objet d’une enquête diligentée par la Banque d’Algérie sur les relais bancaires qui lui permettent de transférer des devises à l’étranger. Selon la même source «le nouveau patron de la banque d’Algérie a été missionné par des “officines” proches du Palais d’El-Mouradia pour enquêter sur les relations qu’entretient Rebrab avec la filiale algéroise de la banque jordanienne Housing Bank. Le directeur de cette Banque, Houcine Hannachi, est considéré comme étant l’un des banquiers les plus proches d’Issad Rebrab.».
Mondafrique note que l'objectif de cette enquête serait d'empêcher le groupe Cevital de poursuivre son développement à l’étranger où il gagne en influence. Il est également question de l’empêcher de trouver des crédits pour financer ses projets en Algérie.
Après le verdict du tribunal dans l'affaire d'El Khabar et le gel du rachat des actions par une filiale de Cevital, une autre affaire est déclenché contre l'homme payant le prix de son opposition au quatrième mandat de Bouteflika.
A en croire à Mondafrique, Issad Rebrab fait l’objet d’une enquête diligentée par la Banque d’Algérie sur les relais bancaires qui lui permettent de transférer des devises à l’étranger. Selon la même source «le nouveau patron de la banque d’Algérie a été missionné par des “officines” proches du Palais d’El-Mouradia pour enquêter sur les relations qu’entretient Rebrab avec la filiale algéroise de la banque jordanienne Housing Bank. Le directeur de cette Banque, Houcine Hannachi, est considéré comme étant l’un des banquiers les plus proches d’Issad Rebrab.».
Mondafrique note que l'objectif de cette enquête serait d'empêcher le groupe Cevital de poursuivre son développement à l’étranger où il gagne en influence. Il est également question de l’empêcher de trouver des crédits pour financer ses projets en Algérie.