Après plusieurs années de «laisser aller», l'Etat algérien affiche une volonté claire de sévir contre les cadres et les militants du Mouvement pour l'Autodétermination de la Kabylie (MAK) qui prône et assume depuis 2013 «l'indépendance de la Kabylie» après son passage de «l'autonomie» à «l'autodétermination».
Trois cadres du MAK à Béjaia ont été arrêtés et transférés au procureur de la république, des militants de Tizi Ouzou ont vu leur commerces scellés pour leur activités au sein du mouvement de Ferhat Mehenni ainsi que l'arrestation de plusieurs militants s’apprêtant à organiser un meeting populaire à Larbaa N'At Iraten ce qui a dégénéré à des affrontements entre la population et la police.
L'agence d'information Kabyle-Siwel créée par «le gouvernement provisoire Kabyle» fondé et présidé par Ferhat Mehenni annonce dans un article que le président du MAK est sur le point d'être arrêté sur ordre du wali.
Cette volonté du pouvoir algérien vient suite à la mobilisation record du MAK à l'occasion du 20 avril et qui a étonné tous les observateurs.
En revanche et malgré la revendication radicale du MAK en prônant l'indépendance de la Kabylie, le mouvement reste pacifique et pacifiste, ce qui peut faire de la répression qui s’abat sur ses militants et cadres, un atout précieux que Ferhat Mehenni utilisera dans ses «activités diplomatiques».
Trois cadres du MAK à Béjaia ont été arrêtés et transférés au procureur de la république, des militants de Tizi Ouzou ont vu leur commerces scellés pour leur activités au sein du mouvement de Ferhat Mehenni ainsi que l'arrestation de plusieurs militants s’apprêtant à organiser un meeting populaire à Larbaa N'At Iraten ce qui a dégénéré à des affrontements entre la population et la police.
L'agence d'information Kabyle-Siwel créée par «le gouvernement provisoire Kabyle» fondé et présidé par Ferhat Mehenni annonce dans un article que le président du MAK est sur le point d'être arrêté sur ordre du wali.
Cette volonté du pouvoir algérien vient suite à la mobilisation record du MAK à l'occasion du 20 avril et qui a étonné tous les observateurs.
En revanche et malgré la revendication radicale du MAK en prônant l'indépendance de la Kabylie, le mouvement reste pacifique et pacifiste, ce qui peut faire de la répression qui s’abat sur ses militants et cadres, un atout précieux que Ferhat Mehenni utilisera dans ses «activités diplomatiques».