Les habitants de la commune d’Illilten, ce havre de paix coincé aux frontières des trois wilayas de Tizi Ouzou, Béjaïa et Bouira sont sur le qui-vive.
Un problème récurrent d’alimentation en eau potable entre quatre villages de la commune- située à 70 km au sud du chef-lieu de wilaya rend l’air irrespirable dans cette localité sur fond de démission totale des autorités. Une curieuse démission, qui fait craindre à bon nombre de villageois que quelque chose de malsain se trame à leur insu.
En effet, ni les autorités locales, complètement dépassées et même effacées devant une telle situation, ni le chef de daïra d’Iferhounene, soupçonné à tort ou à raison de mettre de l’huile sur le feu et encore moins les autorités de wilaya n’ont daigné s’interposer entre villageois en conflit pour éviter le pire. Au contraire, tout indique que ces responsables semblent attendre l’irréparable pour intervenir. Tout a commencé récemment, lorsque les villageois d’Azrou ont cru utile d’investir la montagne et de saboter le répartiteur d’eau qui alimentait les quatre villages : Azrou, Iguefilene, Tifilkout et Taghzout. Une répartition d’eau qui datait de 1994, co-signée dans un PV et que personne n’a osé remettre en cause depuis. Les habitants de cette commune, l’une des plus pauvres d’Algérie en infrastructures, mais l’une des grandes pourvoyeuses en martyrs durant la guerre de libération, ont toujours vécu dans la sérénité, la convivialité et l’entraide.
Un problème récurrent d’alimentation en eau potable entre quatre villages de la commune- située à 70 km au sud du chef-lieu de wilaya rend l’air irrespirable dans cette localité sur fond de démission totale des autorités. Une curieuse démission, qui fait craindre à bon nombre de villageois que quelque chose de malsain se trame à leur insu.
En effet, ni les autorités locales, complètement dépassées et même effacées devant une telle situation, ni le chef de daïra d’Iferhounene, soupçonné à tort ou à raison de mettre de l’huile sur le feu et encore moins les autorités de wilaya n’ont daigné s’interposer entre villageois en conflit pour éviter le pire. Au contraire, tout indique que ces responsables semblent attendre l’irréparable pour intervenir. Tout a commencé récemment, lorsque les villageois d’Azrou ont cru utile d’investir la montagne et de saboter le répartiteur d’eau qui alimentait les quatre villages : Azrou, Iguefilene, Tifilkout et Taghzout. Une répartition d’eau qui datait de 1994, co-signée dans un PV et que personne n’a osé remettre en cause depuis. Les habitants de cette commune, l’une des plus pauvres d’Algérie en infrastructures, mais l’une des grandes pourvoyeuses en martyrs durant la guerre de libération, ont toujours vécu dans la sérénité, la convivialité et l’entraide.