Plaidé par le Front des Forces Socialistes (FFS) depuis son dernier congrès et fixé comme un cap pour «faire sortir le pays de sa crise multidimensionnelle» dans une optique de dialogue national avec la participation du pouvoir, l'initiative pour la «reconstruction d'un consensus national» était confrontée à plusieurs manœuvres, que ce soit de la part du pouvoir qui, pour gagner du temps et contrarier les autres franges de l'opposition structurées dans la CTLD, avait donné une lueur d'espoir et des signes d'acceptation par ses partis d'allégeance, avant de faire machine arrière et briser tout horizon, si l'on sait que sa participation est cruciale pour cette entreprise du FFS, et d'un autre coté, l'opposition la plus radicale qui est allé jusqu'à accuser le plus vieux parti d'opposition de rapprochement avec le système et ses relais.
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Ahmed Ouyahia, secrétaire général du Rassemblement National Démocratique (RND), chef du cabinet de la présidence, plaide ce même consensus, dans une tentative de récupération flagrante, lors du discours prononcé à l'occasion du conseil national du parti, dont il a réussi l'exploit de revenir aux commandes.
Dans ce temps de crise et de chute brutale des prix du pétrole, seul source véritable de rente algérienne, l'une des figures les plus emblématiques du régime en place, Ahmed Ouyahia, fait appel aux algériens pour un consensus national pour affronter les dangers qui guettent le pays, dans une nouvelle démonstration, de faillite totale du système en place et ses politiques suicidaire au court et au long terme.
Si le FFS appelle à la reconstruction du consensus national, dans une optique de sauvegarde du pays, en suivant la ligne tracée par son leader historique, Hocine Ait Ahmed, Ouyahia et le RND, ont leur ligne tracée depuis la naissance de ladite formation politique, de servitude au système et ses clans régnants, un consensus pour sauver le système, substitué implicitement et explicitement par l'Etat et ses institutions, et c'est là que les termes seront fossoyés et tout espoir de sortie de crise sera tué.
Ahmed Ouyahia, secrétaire général du Rassemblement National Démocratique (RND), chef du cabinet de la présidence, plaide ce même consensus, dans une tentative de récupération flagrante, lors du discours prononcé à l'occasion du conseil national du parti, dont il a réussi l'exploit de revenir aux commandes.
Dans ce temps de crise et de chute brutale des prix du pétrole, seul source véritable de rente algérienne, l'une des figures les plus emblématiques du régime en place, Ahmed Ouyahia, fait appel aux algériens pour un consensus national pour affronter les dangers qui guettent le pays, dans une nouvelle démonstration, de faillite totale du système en place et ses politiques suicidaire au court et au long terme.
Si le FFS appelle à la reconstruction du consensus national, dans une optique de sauvegarde du pays, en suivant la ligne tracée par son leader historique, Hocine Ait Ahmed, Ouyahia et le RND, ont leur ligne tracée depuis la naissance de ladite formation politique, de servitude au système et ses clans régnants, un consensus pour sauver le système, substitué implicitement et explicitement par l'Etat et ses institutions, et c'est là que les termes seront fossoyés et tout espoir de sortie de crise sera tué.
Khaled.B