Devenue la bête noir des milieux rétrogrades très influents en Algérie, Nouria Benghabrit, la ministre de l'éducation nationale subissant une fortes pressions suite à sa nomination pour ses présumées origines juives et une propagande féroce déclenchée par les islamo-conservateurs et propulsée par des médias populistes pour ses penchants progressistes dans son entreprise de réforme de l'école algérienne, aurait présenté sa démission au prêt du premier ministre Abdelmalek Sellal.
Selon des sources bien informées, la ministre aurait décidé de jeter l'éponge après la fuite des sujets de l'examen du baccalauréat, laissant place à un grand scandale remettant en cause la capacité de l'Etat algérien à organiser cet examen et garder son prestige et sa valeur.
Abdelmalek Sellal aurait de son coté aurait refusé, selon les mêmes sources, la démission de la ministre, en attendant les résultats de l'enquête ouverte par les autorités compétentes.
Selon des sources bien informées, la ministre aurait décidé de jeter l'éponge après la fuite des sujets de l'examen du baccalauréat, laissant place à un grand scandale remettant en cause la capacité de l'Etat algérien à organiser cet examen et garder son prestige et sa valeur.
Abdelmalek Sellal aurait de son coté aurait refusé, selon les mêmes sources, la démission de la ministre, en attendant les résultats de l'enquête ouverte par les autorités compétentes.