Loubna Abidar, l'actrice marocaine de «Much Loved», qui a suscité l'indignation des islamo-conservateurs au Maroc avec son rôle de prostituée et le langage ainsi que les scènes très osées qui lui a coûté une agression physique à Casa Blanca, était l'invité de l'émission "On n'est pas couché", délocalisée à Cannes samedi 21 mai pour le festival du cinéma.
Parlant de son livre «La dangereuse» et son film «Zin li Fik», Loubna Abidar raconte la galère des femmes dans les pays dits pays arabo-musulmans, sa souffrance avec la violence de son père pendant son enfance "Je ne voulais pas trop m'étendre sur le sujet, j'aurai pu écrire dix livres pour raconter le mal qu'il m'a fait", explique-t-elle ajoutant que "jamais de la vie" elle ne pourrait lui pardonner.
Devant le journaliste chroniqueur français Laurent Ruquier, Loubna Abidar raconte le dilemme de son enfance en voyant des prostituées à la télé "Je me demandais comment des femmes belles comme cela pouvaient aller en enfer. Je ne connaissais pas le mot 'actrice', alors quand on me demandait ce que je voulais faire quand je serai grande, je répondais: 'une prostituée connue dans le monde entier'".
Le langage adopté par Loubna est aperçu également comme une atteinte à la pudeur par plusieurs titres de presse marocaine, «Une provocation» selon un média proche des islamistes.
Parlant de son livre «La dangereuse» et son film «Zin li Fik», Loubna Abidar raconte la galère des femmes dans les pays dits pays arabo-musulmans, sa souffrance avec la violence de son père pendant son enfance "Je ne voulais pas trop m'étendre sur le sujet, j'aurai pu écrire dix livres pour raconter le mal qu'il m'a fait", explique-t-elle ajoutant que "jamais de la vie" elle ne pourrait lui pardonner.
Devant le journaliste chroniqueur français Laurent Ruquier, Loubna Abidar raconte le dilemme de son enfance en voyant des prostituées à la télé "Je me demandais comment des femmes belles comme cela pouvaient aller en enfer. Je ne connaissais pas le mot 'actrice', alors quand on me demandait ce que je voulais faire quand je serai grande, je répondais: 'une prostituée connue dans le monde entier'".
Le langage adopté par Loubna est aperçu également comme une atteinte à la pudeur par plusieurs titres de presse marocaine, «Une provocation» selon un média proche des islamistes.