Ce sont deux journaux arabophones qui jouissent d'une grande audience sur le niveau national, en versions papiers, électroniques et même leur télévisions affiliées. Mais c'est en Kabylie que ces deux médias commencent à gagner des «ennemis » après leur campagnes de dénigrement de tout ce qui a relation au Kabyle et leur partie prise contre la région.
En effet, la dernière campagne déclenchée contre l'homme d'affaire Issad Rebrab par la chaîne d'Ennahar et El Bilad qui la suit, est la goutte qui a débordé le vase selon un buraliste d'Akbou interrogé par Kabylie News, qui confirme avoir refusé de vendre les deux journaux, tout en rappelant que «les gens ne les achètent pas ! » rajoute t-il.
Une campagne de «Boycotte» des deux journaux était initiée sur les réseaux sociaux et fortement suivie par la rue Kabyle, selon les échos des grandes villes de la région «Déjà je ne lis pas ces deux journaux, mais actuellement je les déconseilles» nous confie un citoyen de Béjaia.
Il est à rappeler, qu'avant Issad Rebrab, le défunt leader politique et historique Ait Ahmed était traité de tous les noms et qualifié d'un traître collaborateur du Maroc et des sionistes, ainsi que Ferhat Mehenni et Said Saadi, dont le dernier était même traité de fils e Harki sur les colonnes de la presse algérienne.
En effet, la dernière campagne déclenchée contre l'homme d'affaire Issad Rebrab par la chaîne d'Ennahar et El Bilad qui la suit, est la goutte qui a débordé le vase selon un buraliste d'Akbou interrogé par Kabylie News, qui confirme avoir refusé de vendre les deux journaux, tout en rappelant que «les gens ne les achètent pas ! » rajoute t-il.
Une campagne de «Boycotte» des deux journaux était initiée sur les réseaux sociaux et fortement suivie par la rue Kabyle, selon les échos des grandes villes de la région «Déjà je ne lis pas ces deux journaux, mais actuellement je les déconseilles» nous confie un citoyen de Béjaia.
Il est à rappeler, qu'avant Issad Rebrab, le défunt leader politique et historique Ait Ahmed était traité de tous les noms et qualifié d'un traître collaborateur du Maroc et des sionistes, ainsi que Ferhat Mehenni et Said Saadi, dont le dernier était même traité de fils e Harki sur les colonnes de la presse algérienne.