Une Française de 19 ans s’est suicidée mardi en France en se filmant en direct sur Periscope, une application de diffusion instantanée de vidéos au succès fulgurant, mais dont les images sans filtres ont déjà provoqué plusieurs polémiques.
La jeune femme s’est donné la mort en se jetant sous un train de la banlieue parisienne tout en filmant son geste sur Periscope, a-t-on précisé mercredi de source judiciaire.
Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime «aurait évoqué un viol et désigné un agresseur» au cours de l’enregistrement, a dit une source judiciaire, tout en restant très prudente sur la réalité de ces faits.
La justice a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de ce suicide survenu à Egly, dans la banlieue sud de Paris. «L’exploitation du téléphone et la récupération de la vidéo sont en cours», a-t-on précisé de source judiciaire.
Les gendarmes ont indiqué avoir été alertés par «un utilisateur de Periscope qui était connecté avec la victime et disait qu’elle n’allait pas bien». Ils n’ont cependant pas pu empêcher le suicide.
La jeune fille aurait également envoyé un SMS à une proche juste avant son décès.
Le passage à l’acte a été supprimé du flux de Periscope mais un extrait vidéo qui précède le suicide est disponible sur Youtube. La victime, assise sur un canapé, parle d’une vidéo qui «n’est pas faite pour faire le buzz» mais «pour faire réagir les gens, ouvrir les esprits».
Puis, après un long silence face caméra, s’affiche un écran noir avec en fond, difficilement audibles, les voix de secouristes venus récupérer le corps.
«Nous ne faisons pas de commentaires sur les comptes individuels», a réagi un porte-parole pour l’Europe de Twitter, qui a acheté Periscope en 2015.
La jeune femme s’est donné la mort en se jetant sous un train de la banlieue parisienne tout en filmant son geste sur Periscope, a-t-on précisé mercredi de source judiciaire.
Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime «aurait évoqué un viol et désigné un agresseur» au cours de l’enregistrement, a dit une source judiciaire, tout en restant très prudente sur la réalité de ces faits.
La justice a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de ce suicide survenu à Egly, dans la banlieue sud de Paris. «L’exploitation du téléphone et la récupération de la vidéo sont en cours», a-t-on précisé de source judiciaire.
Les gendarmes ont indiqué avoir été alertés par «un utilisateur de Periscope qui était connecté avec la victime et disait qu’elle n’allait pas bien». Ils n’ont cependant pas pu empêcher le suicide.
La jeune fille aurait également envoyé un SMS à une proche juste avant son décès.
Le passage à l’acte a été supprimé du flux de Periscope mais un extrait vidéo qui précède le suicide est disponible sur Youtube. La victime, assise sur un canapé, parle d’une vidéo qui «n’est pas faite pour faire le buzz» mais «pour faire réagir les gens, ouvrir les esprits».
Puis, après un long silence face caméra, s’affiche un écran noir avec en fond, difficilement audibles, les voix de secouristes venus récupérer le corps.
«Nous ne faisons pas de commentaires sur les comptes individuels», a réagi un porte-parole pour l’Europe de Twitter, qui a acheté Periscope en 2015.
Avec JDMontreal