Le tweet «empoisonné» selon les teneurs du pouvoir suscite une grande polémique qui enfle toujours après les dernières déclarations de Amar Saadani accusant le premier ministre français de vouloir «se venger du président algérien» puisque «il n'a pas obtenu les contrats qu'il était venu chercher ».
Manuel valls, le premier ministre français qui a présidé une délégation ministérielle en visite de travail en Algérie début du mois d'avril juge ces déclarations «infondées» ce qui l'a poussé à appeler son homologue algérien, Abdelmalek Sellal pour lui exprimer et plaider sa «bonne foi»
Pour rappel, Manuel Valls a émis un tweet sur son compte officiel après son entretien avec le chef de l'Etat algérien, Abdelaziz Bouteflik «Échanges économiques, humains et sécurité : la relation franco-algérienne est forte, historique et stratégique.» illustré avec une photo de Bouteflika très fatigué, le visage livide, la bouche ouverte et l'air très mal en point.
Manuel valls, le premier ministre français qui a présidé une délégation ministérielle en visite de travail en Algérie début du mois d'avril juge ces déclarations «infondées» ce qui l'a poussé à appeler son homologue algérien, Abdelmalek Sellal pour lui exprimer et plaider sa «bonne foi»
Pour rappel, Manuel Valls a émis un tweet sur son compte officiel après son entretien avec le chef de l'Etat algérien, Abdelaziz Bouteflik «Échanges économiques, humains et sécurité : la relation franco-algérienne est forte, historique et stratégique.» illustré avec une photo de Bouteflika très fatigué, le visage livide, la bouche ouverte et l'air très mal en point.