La marche organisée ce matin, mercredi le 27 avril 2016, par le collectif des étudiants libres afin de dénoncer l'insécurité au sein de l'université de Bouira a été réprimée. Des incidents ont lieu entre les étudiants et les forces de l'ordre dont un enseignant et une dizaine d'étudiants ont été interpellés et libérés après quelques heures. Des commissions et une délégation sont créées pour de multiples revendications.
Les faits remontent au 19 avril dernier quand une conférence en marge de la commémoration du double anniversaire du printemps berbère et du printemps noir est empêchée et qui a causé l'agression d'un jeune étudiant par le coordinateur des agents de sécurité( selon ce collectif). Ce qui a fait réagir la communauté estudiantine. Kabylie News s'est rendu sur place, pour comprendre la question de plus prés. Anouar H. l'un des élus de la commission de la rédaction et de l'information a affirmé que le collectif des étudiants libres a porté une plate forme de revendications au premier responsable de l'université et qui revendique en premier lieu le départ immédiat de l'agresseur et son collègue qui, d'après cette plate forme, avait menacé une étudiante. Il ajoute que ce même collectif demande la libération des libertés démocratiques et individuelles, collectives, d'expression et d'organisation à l'enceinte université. Pour Nabil N. membre de la commission d'ordre déclare que le collectif subit des provocations de la part de quelques organisations satellitaires dit, islamistes, même des agressions à leur encontre, en les accusant de séparatisme alors que leurs revendications n'ont aucune tendance politique. Il poursuit en affirmant que leur collectif ne défend que l'intérêt et les droits de l'étudiant.
Une centaine d'étudiants tente camper et passer la nuit devant le rectorat de l'université jusqu'au ils auront une réponse favorable à toutes leurs revendications pour ce, une commission de ravitaillement était formée. Egalement une grève illimitée est décrétée dans plusieurs facultés de l'université.
Par Lounis D
Les faits remontent au 19 avril dernier quand une conférence en marge de la commémoration du double anniversaire du printemps berbère et du printemps noir est empêchée et qui a causé l'agression d'un jeune étudiant par le coordinateur des agents de sécurité( selon ce collectif). Ce qui a fait réagir la communauté estudiantine. Kabylie News s'est rendu sur place, pour comprendre la question de plus prés. Anouar H. l'un des élus de la commission de la rédaction et de l'information a affirmé que le collectif des étudiants libres a porté une plate forme de revendications au premier responsable de l'université et qui revendique en premier lieu le départ immédiat de l'agresseur et son collègue qui, d'après cette plate forme, avait menacé une étudiante. Il ajoute que ce même collectif demande la libération des libertés démocratiques et individuelles, collectives, d'expression et d'organisation à l'enceinte université. Pour Nabil N. membre de la commission d'ordre déclare que le collectif subit des provocations de la part de quelques organisations satellitaires dit, islamistes, même des agressions à leur encontre, en les accusant de séparatisme alors que leurs revendications n'ont aucune tendance politique. Il poursuit en affirmant que leur collectif ne défend que l'intérêt et les droits de l'étudiant.
Une centaine d'étudiants tente camper et passer la nuit devant le rectorat de l'université jusqu'au ils auront une réponse favorable à toutes leurs revendications pour ce, une commission de ravitaillement était formée. Egalement une grève illimitée est décrétée dans plusieurs facultés de l'université.
Par Lounis D