Hamid Grine, ministre de la Communication, se dit satisfait des réalisations de son département au profit de tamazight. Il a, encore une fois, réitéré son engagement “à faire promouvoir la langue amazighe” dans les médias, rappelant qu’il a lancé, depuis “Constantine, capitale de la culture arabe 2015”, le site de la version amazighe de l’APS.
Le ministre s’est dit aussi “heureux” de donner le coup d’envoi de la première formation interactive des journalistes exerçant en tamazight, soulignant que “ce fondement de l’identité nationale doit être promu”. “Vous ne me verrez pas heureux si tamazight n’est pas épanouie”, a encore dit le ministre, soulignant que “son fils Walid est en train d’apprendre tamazight”. Le ministre a été accompagné par un représentant du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en l’occurrence Belkacem Mellah et El-Hachemi Assad, SG du HCA, à la Bibliothèque nationale d’El-Hamma où se tient depuis hier la formation de trois jours. Le ministre a insisté sur la volonté de son département ministériel “de prendre une part active à la promotion de la langue amazighe dans les médias nationaux”.
M. Grine a insisté sur la nécessité de former d’une manière continue les journalistes, saluant, au passage, l’initiative du HCA, avec lequel le ministre s’est dit engagé “à travailler main dans la main”. “Aucune action politique n’est rentable si elle n’est pas traduite sur le terrain”, a encore dit le ministre. Sur un autre registre, le ministre de la Communication a rappelé que la famille de la presse n’est pas encore “organisée” pour pouvoir lancer d’autres chantiers.
Il a informé qu’un journaliste suisse, ancien président de l’Autorité de régulation de la presse écrite suisse, sera convié à donner une formation “gratuite” aux journalistes algériens. Un autre du journal El-Ahram égyptien dispensera aussi une formation en Algérie. El-Hachemi Assad, SG du HCA, a rappelé que cette formation entre dans le cadre de la mise en œuvre de la convention de partenariat passée entre le HCA et le ministère de la Communication, en février dernier, visant à promouvoir l’usage de tamazight dans les médias. C’est ainsi qu’il a assuré les participants que le HCA continuera à accompagner les professionnels des médias amazighophones pour relever le défi de doter tamazight d’un lexique propre aux médias. Le SG du HCA a souligné, dans ce cadre, que “tout sera entrepris pour élaborer un lexique spécialisé dédié exclusivement aux professionnels des médias”, assurant, par là même, une continuité dans la formation des journalistes amazighophones.
Pour Belkacem Mellah, chargé de la communication au Premier ministère, la promotion de tamazight est “devenue un fait réel”, estimant que le nombre “important” de festivals pour la préservation et la promotion du patrimoine amazigh est là pour témoigner des efforts consentis par l’État dans cette voie.
Avec Liberté
Le ministre s’est dit aussi “heureux” de donner le coup d’envoi de la première formation interactive des journalistes exerçant en tamazight, soulignant que “ce fondement de l’identité nationale doit être promu”. “Vous ne me verrez pas heureux si tamazight n’est pas épanouie”, a encore dit le ministre, soulignant que “son fils Walid est en train d’apprendre tamazight”. Le ministre a été accompagné par un représentant du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en l’occurrence Belkacem Mellah et El-Hachemi Assad, SG du HCA, à la Bibliothèque nationale d’El-Hamma où se tient depuis hier la formation de trois jours. Le ministre a insisté sur la volonté de son département ministériel “de prendre une part active à la promotion de la langue amazighe dans les médias nationaux”.
M. Grine a insisté sur la nécessité de former d’une manière continue les journalistes, saluant, au passage, l’initiative du HCA, avec lequel le ministre s’est dit engagé “à travailler main dans la main”. “Aucune action politique n’est rentable si elle n’est pas traduite sur le terrain”, a encore dit le ministre. Sur un autre registre, le ministre de la Communication a rappelé que la famille de la presse n’est pas encore “organisée” pour pouvoir lancer d’autres chantiers.
Il a informé qu’un journaliste suisse, ancien président de l’Autorité de régulation de la presse écrite suisse, sera convié à donner une formation “gratuite” aux journalistes algériens. Un autre du journal El-Ahram égyptien dispensera aussi une formation en Algérie. El-Hachemi Assad, SG du HCA, a rappelé que cette formation entre dans le cadre de la mise en œuvre de la convention de partenariat passée entre le HCA et le ministère de la Communication, en février dernier, visant à promouvoir l’usage de tamazight dans les médias. C’est ainsi qu’il a assuré les participants que le HCA continuera à accompagner les professionnels des médias amazighophones pour relever le défi de doter tamazight d’un lexique propre aux médias. Le SG du HCA a souligné, dans ce cadre, que “tout sera entrepris pour élaborer un lexique spécialisé dédié exclusivement aux professionnels des médias”, assurant, par là même, une continuité dans la formation des journalistes amazighophones.
Pour Belkacem Mellah, chargé de la communication au Premier ministère, la promotion de tamazight est “devenue un fait réel”, estimant que le nombre “important” de festivals pour la préservation et la promotion du patrimoine amazigh est là pour témoigner des efforts consentis par l’État dans cette voie.
Avec Liberté