Abderrezak Mokri, le président du parti Islamiste Mouvement pour la Société de la Paix (MSP), principal représentant des frères musulmans en Algérie et membre de la confrérie internationale, s'exprime sur la question amazigh, en changeant de stratégie, lui qui était pendant plusieurs années, comme l'autre islamiste, Abdellah Djabellah, un ennemi juré de cette langue.
La jonction entre l'arabisme et l'islamisme se fait sans difficultés chez les frères musulmans, contrairement aux Baathist laïques et aux salafistes Islamiste et c'est la force de cette mouvance importée de l’Égypte avec un discours démagogiques qui cachent d'autres fins.
Pour le MSP, ce sont les amazighs qui ont choisi l'Arabe, qui n'était pas selon lui, imposée sur eux, tout en rappelant qu'ils «n’accepteraient jamais que Tamazight soit la concurrente de l'Arabe n'est «le cheval de Troie du Français».
La jonction entre l'arabisme et l'islamisme se fait sans difficultés chez les frères musulmans, contrairement aux Baathist laïques et aux salafistes Islamiste et c'est la force de cette mouvance importée de l’Égypte avec un discours démagogiques qui cachent d'autres fins.
Pour le MSP, ce sont les amazighs qui ont choisi l'Arabe, qui n'était pas selon lui, imposée sur eux, tout en rappelant qu'ils «n’accepteraient jamais que Tamazight soit la concurrente de l'Arabe n'est «le cheval de Troie du Français».