La création d'un FLN en France est annoncé par le Journal officiel français dans son numéro du 9 janvier dernier à la page 155. En effet, ceci étant l’œuvre de certains activistes politiques binationaux qui ont décidé de créer ce parti politique dénommé FLN, sous forme d’association.
Et partant, la Fédération nationale de la communauté algérienne en France a appelé, dans un communiqué, les autorités supérieures du pays et le SG du FLN à intervenir immédiatement pour arrêter cette mascarade, car ces parties veulent ternir l’image du parti historique.
Dans ce sens, Echorouk rapporte que la direction du FLN prendra toutes les mesures nécessaires dans sa prochaine réunion du Bureau politique, la semaine prochaine, sous la présidence de Amar Saâdani.
Ces personnes, dont on ignore totalement l’identité, qui ont créé ce parti-association, dont le siège est à Paris, l’ont fait par bravade et réaction de l’article 51 de la nouvelle Constitution, qui d’après les binationaux les met en position de deuxième collège et les discrimine.
Mais surtout, ce qui doit nous interpeller, c’est le rôle joué par l’administration française qui a permis cela. Serait-elle partie prenante dans la création ce FLN-bis, d’essence française ?
Et partant, la Fédération nationale de la communauté algérienne en France a appelé, dans un communiqué, les autorités supérieures du pays et le SG du FLN à intervenir immédiatement pour arrêter cette mascarade, car ces parties veulent ternir l’image du parti historique.
Dans ce sens, Echorouk rapporte que la direction du FLN prendra toutes les mesures nécessaires dans sa prochaine réunion du Bureau politique, la semaine prochaine, sous la présidence de Amar Saâdani.
Ces personnes, dont on ignore totalement l’identité, qui ont créé ce parti-association, dont le siège est à Paris, l’ont fait par bravade et réaction de l’article 51 de la nouvelle Constitution, qui d’après les binationaux les met en position de deuxième collège et les discrimine.
Mais surtout, ce qui doit nous interpeller, c’est le rôle joué par l’administration française qui a permis cela. Serait-elle partie prenante dans la création ce FLN-bis, d’essence française ?