La commune de Bgayet ( Béjaîa) est déterminé à aller au bout de sa décision de renouvellement des trois statue phares de la ville des Hamadites, le Moudjahid Inconnu, Ibn Khaldoune et Said Mekbel, malgré l'opposition de la société civile qui revendique d'autres priorités préoccupant davantage les citoyens bougiotes.
La statue immortalisant Said Mekbel, journaliste connu aussi sous le pseudonyme Mesmar Dj'ha, natif de de Béjaia et assassiné en 1994 durant la décennie noire, a été détruite par la commune, pour la remplacer avec une nouvelle statue en bronze, a t-on appris de sources concordantes.
Contacté par Kabylie News, le militant et activiste associatif, Yanis Aldjia, s'est indigné de ce «Pseudo-projet» entrepris par l'assemblé communale de Béjaîa, avec une décision prise à «Huis-clos», à l'insu des citoyens «L'APC de Béjaîa, a pris cette décision, de dépenser 1 milliard 25 millions de centimes sur ces statues, sans communiquer avec les citoyens, qui ont déjà tenu un sit-in en contestation de la démolition de la statue du "Moudjahid inconnu", un des monuments marquants de la ville».
Selon Yanis Aldjia, un budget faramineux est réservé à cette «remise en valeur» des trois statues, alors que la «ville vit une véritable anarchie, et l'argent doit être dépensé dans le souci d'améliorer la vie quotidienne du citoyen».
La statue immortalisant Said Mekbel, journaliste connu aussi sous le pseudonyme Mesmar Dj'ha, natif de de Béjaia et assassiné en 1994 durant la décennie noire, a été détruite par la commune, pour la remplacer avec une nouvelle statue en bronze, a t-on appris de sources concordantes.
Contacté par Kabylie News, le militant et activiste associatif, Yanis Aldjia, s'est indigné de ce «Pseudo-projet» entrepris par l'assemblé communale de Béjaîa, avec une décision prise à «Huis-clos», à l'insu des citoyens «L'APC de Béjaîa, a pris cette décision, de dépenser 1 milliard 25 millions de centimes sur ces statues, sans communiquer avec les citoyens, qui ont déjà tenu un sit-in en contestation de la démolition de la statue du "Moudjahid inconnu", un des monuments marquants de la ville».
Selon Yanis Aldjia, un budget faramineux est réservé à cette «remise en valeur» des trois statues, alors que la «ville vit une véritable anarchie, et l'argent doit être dépensé dans le souci d'améliorer la vie quotidienne du citoyen».