La route nationale numéro 9 reliant Sétif à Béjaîa, a été bloquée au niveau de la localité de Bourdj-Mira, par un groupe de citoyens protestant la fermeture d'un dépôt de boissons alcoolisées. En effet, la fermeture de la route a perturbé grandement la circulation.
Un bras de fer est engagé entre le propriétaire du dépôt de boissons alcoolisées et des «personnalités influentes de l'association religieuse d'une mosquée», qui à leur tour dénoncent la proximité de «ce commerce de boissons illicites en islam au lieu de culte sacré», mais le propriétaire dudit local se défend «Je travaille légalement, je paie des impôts à l’Etat et je n’ai jamais enfreint la Loi», dit-il, avant d’ajouter : «Mon commerce a existé avant l’implantation de la mosquée. Je n’ai jamais empêché quelqu’un de rentrer ou de sortir de la mosquée, alors pourquoi ne me laissent-ils pas tranquille ?».
A plusieurs reprises, ledit local a été fermé puis rouvert. Cette fois, le propriétaire dénonce un coup monté par quelques personnes influentes dans la mosquée. Dans l’autre camp, les initiateurs de la pétition à l’origine de cette fermeture dénoncent la proximité de ce débit de boissons alcoolisées d’un lieu sacré.
L'absence de l'Etat sanctionne les citoyens usagers de ladite route nationale et qui payent le prix d'une politique engagée par les autorités visant de donner raison à tout le monde.
Un bras de fer est engagé entre le propriétaire du dépôt de boissons alcoolisées et des «personnalités influentes de l'association religieuse d'une mosquée», qui à leur tour dénoncent la proximité de «ce commerce de boissons illicites en islam au lieu de culte sacré», mais le propriétaire dudit local se défend «Je travaille légalement, je paie des impôts à l’Etat et je n’ai jamais enfreint la Loi», dit-il, avant d’ajouter : «Mon commerce a existé avant l’implantation de la mosquée. Je n’ai jamais empêché quelqu’un de rentrer ou de sortir de la mosquée, alors pourquoi ne me laissent-ils pas tranquille ?».
A plusieurs reprises, ledit local a été fermé puis rouvert. Cette fois, le propriétaire dénonce un coup monté par quelques personnes influentes dans la mosquée. Dans l’autre camp, les initiateurs de la pétition à l’origine de cette fermeture dénoncent la proximité de ce débit de boissons alcoolisées d’un lieu sacré.
L'absence de l'Etat sanctionne les citoyens usagers de ladite route nationale et qui payent le prix d'une politique engagée par les autorités visant de donner raison à tout le monde.