La guerre est déclarée entre les alliés stratégiques de Abdelazize Bouteflika, le Front de Libération Nationale (FLN) et le Rassemblement National Démocratique (RND), à leurs têtes Amar Saadani et Ahmed Ouyahia.
Amar Saâdani, le secrétaire général du FLN s'est attaqué directement à son homologue du RND, dans une interview accordée au journal arabophone, SabqPresse, où il démit Ahmed Ouyahia de toute compétence ou habilité de mener le gouvernement après «l'édification de l'Etat civil».
Selon le SG du FLN, le directeur du cabinet du président, vient d'une autre époque et doit laisser sa place à de nouvelles compétences qui peuvent s'adapter aux changements entrepris par le président de la république, après «le retour de la paix grâce à la concorde civile et le payement des dettes de l'Algérie puis la reconstruction des infrastructures ravagées par le terrorisme pour enfin mettre en place les mécanismes de l'Etat civil», déclare Amar Saidani audit média électronique.
Amar Saâdani, a confirmé par ailleurs que «le quatrième mandat de Abdelaziz Bouteflika est le début de la deuxième république » et tiens à «confirmer au peuple algérien, qu'il vit la transition vers l'Etat civil de droits et de transparence politique», ajoute l'ancien président de l'APN.
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Amar Saâdani, le secrétaire général du FLN s'est attaqué directement à son homologue du RND, dans une interview accordée au journal arabophone, SabqPresse, où il démit Ahmed Ouyahia de toute compétence ou habilité de mener le gouvernement après «l'édification de l'Etat civil».
Selon le SG du FLN, le directeur du cabinet du président, vient d'une autre époque et doit laisser sa place à de nouvelles compétences qui peuvent s'adapter aux changements entrepris par le président de la république, après «le retour de la paix grâce à la concorde civile et le payement des dettes de l'Algérie puis la reconstruction des infrastructures ravagées par le terrorisme pour enfin mettre en place les mécanismes de l'Etat civil», déclare Amar Saidani audit média électronique.
Amar Saâdani, a confirmé par ailleurs que «le quatrième mandat de Abdelaziz Bouteflika est le début de la deuxième république » et tiens à «confirmer au peuple algérien, qu'il vit la transition vers l'Etat civil de droits et de transparence politique», ajoute l'ancien président de l'APN.
