Abdelmalek Sellal, premier ministre quatre fois consécutives, est annoncé sur le départ par plusieurs sources proches des cercles de prises de décisions, il doit déposer sa démission après l'adoption de l'Avant-projet de la nouvelle constitution algérienne, pour permettre la formation d'un nouveau gouvernement qui sera probablement adopté à la nouvelle conjoncture de la crise économique.
Le parlement réuni de ses deux chambres (APN-SENAT) adoptera sans surprise la nouvelle constitution ce dimanche et Abdelmalek Sellal sera dans l'obligation de déposer sa démission et dissoudre le gouvernement «Sellal 4». Tandis que l'actuel ministre de l'industrie Abdeslam Bouchouareb est donné comme favori pour le remplacer, alors que Sellal serait porté à assumer le poste d'ambassadeur.
Le lifting déjà annoncé dans les cercles proches du président Bouteflika a bel et bien commencé avec le renouvellement du tier présidentiel du sénat et le départ de sénateur qualifiés d'«ingrats au président de la république», parmi eux, Yacef Saadi, opposant du quatrième mandat et Mme Drif Bitat, membre du groupe 19-4 ayant signé la demande d'audience à Bouteflika.
Ces deux anciens figures de la glorieuse batailles d'Alger étaient la cible d'une compagne de dénigrement sur les organes de propagandes officieux en les épinglant comme indicateurs de la France coloniale.
D'autres ministres partiront pour «Incompétence et immobilisme» pendant leur exercice de fonction et face à la «Compagne menée par les proches du général Toufik ex-patron de DRS» avant et après sa mise en retraite, indique des sources bien informée.
Le parlement réuni de ses deux chambres (APN-SENAT) adoptera sans surprise la nouvelle constitution ce dimanche et Abdelmalek Sellal sera dans l'obligation de déposer sa démission et dissoudre le gouvernement «Sellal 4». Tandis que l'actuel ministre de l'industrie Abdeslam Bouchouareb est donné comme favori pour le remplacer, alors que Sellal serait porté à assumer le poste d'ambassadeur.
Le lifting déjà annoncé dans les cercles proches du président Bouteflika a bel et bien commencé avec le renouvellement du tier présidentiel du sénat et le départ de sénateur qualifiés d'«ingrats au président de la république», parmi eux, Yacef Saadi, opposant du quatrième mandat et Mme Drif Bitat, membre du groupe 19-4 ayant signé la demande d'audience à Bouteflika.
Ces deux anciens figures de la glorieuse batailles d'Alger étaient la cible d'une compagne de dénigrement sur les organes de propagandes officieux en les épinglant comme indicateurs de la France coloniale.
D'autres ministres partiront pour «Incompétence et immobilisme» pendant leur exercice de fonction et face à la «Compagne menée par les proches du général Toufik ex-patron de DRS» avant et après sa mise en retraite, indique des sources bien informée.