Trois personnes de Nationalité algérienne ont été arrêté par la police allemande dans une opération visant des algériens dont certains vivaient dans des centres de réfugiés, soupçonnés de préparer un attentat à Berlin en lien avec l'organisation Etat islamique, a-t-on appris de l'AFP.
Un couple d'Algériens, vivant dans un centre de réfugiés à Attendorn (ouest, 80 km de Cologne) a été arrêté sur la base de mandats d'arrêt de l'Algérie car ils sont suspectés d'appartenir à l'EI, selon le parquet berlinois. L'époux aurait été formé aux armes en Syrie.
Un autre Algérien, arrêté à Berlin, est accusé d'avoir confectionné de faux papiers. Deux autres suspects, également originaires d'Algérie, ont été laissés en liberté.
"Il est reproché aux suspects d'avoir potentiellement préparé une attaque à Berlin", a indiqué à l'AFP Martin Steltner du parquet berlinois.
Un porte-parole de la police berlinoise a indiqué à l'AFP que les téléphones et d'autres indices, saisis lors de perquisitions à Berlin, en Rhénanie du Nord-Westphalie et en Basse-Saxe, étaient analysés pour déterminer "si (un attentat) était prévu et quelles étaient les cibles".
Selon l'agence DPA, l'un des Algériens aurait eu des contacts avec la mouvance islamiste belge et s'est rendu au moins une fois ces dernières semaines dans le quartier de Molenbeek, à Bruxelles, d'où sont originaires des auteurs des attentats du 13 novembre à Paris.
"Ca fait partie des choses que nous vérifions", a dit à l'AFP un porte-parole de la police berlinoise.
Avec AFP
Un couple d'Algériens, vivant dans un centre de réfugiés à Attendorn (ouest, 80 km de Cologne) a été arrêté sur la base de mandats d'arrêt de l'Algérie car ils sont suspectés d'appartenir à l'EI, selon le parquet berlinois. L'époux aurait été formé aux armes en Syrie.
Un autre Algérien, arrêté à Berlin, est accusé d'avoir confectionné de faux papiers. Deux autres suspects, également originaires d'Algérie, ont été laissés en liberté.
"Il est reproché aux suspects d'avoir potentiellement préparé une attaque à Berlin", a indiqué à l'AFP Martin Steltner du parquet berlinois.
Un porte-parole de la police berlinoise a indiqué à l'AFP que les téléphones et d'autres indices, saisis lors de perquisitions à Berlin, en Rhénanie du Nord-Westphalie et en Basse-Saxe, étaient analysés pour déterminer "si (un attentat) était prévu et quelles étaient les cibles".
Selon l'agence DPA, l'un des Algériens aurait eu des contacts avec la mouvance islamiste belge et s'est rendu au moins une fois ces dernières semaines dans le quartier de Molenbeek, à Bruxelles, d'où sont originaires des auteurs des attentats du 13 novembre à Paris.
"Ca fait partie des choses que nous vérifions", a dit à l'AFP un porte-parole de la police berlinoise.
Avec AFP