La Fédération internationale des journalistes (FIJ), a rendu publique son rapport annuel sur la liberté de la presse dans le monde. En effet la FIJ indique qu’«au moins 2.297 journalistes et professionnels des médias» ont été tués depuis 1990. En effet, l'Irak, le Yémen et la France comptent le plus de journalistes victimes alors que 112 ont été tués rien qu'en 2015, Selon la fédération des journalistes, 2006 reste l’année la plus meurtrière pour les professionnels des médias, avec 155 morts.
L’Algérie figure parmi les 10 pays les plus dangereux pour les journalistes avec 106 professionnels des médias morts dans l’exercice de leurs fonctions, derrière l’Irak (309), Philippines (146), Mexique (120), Pakistan (115), Russie (109), dans la classement établi pour les 25 dernières années.
Dans son rapport repris par l'AFP, de nombreux décès ont lieu dans les zones de conflits, beaucoup de journalistes ont été «victimes des barons du crime organisé et de fonctionnaires corrompus.» «Il y a beaucoup plus de journalistes tués dans des endroits en paix que dans des pays touchés par la guerre», précise la FIJ.
La FIJ, le manque d’action pour éradiquer l’impunité des meurtres et autres attaques visant les professionnels des médias ne fait qu’aggraver la violence dont ils sont victimes.
L’Algérie figure parmi les 10 pays les plus dangereux pour les journalistes avec 106 professionnels des médias morts dans l’exercice de leurs fonctions, derrière l’Irak (309), Philippines (146), Mexique (120), Pakistan (115), Russie (109), dans la classement établi pour les 25 dernières années.
Dans son rapport repris par l'AFP, de nombreux décès ont lieu dans les zones de conflits, beaucoup de journalistes ont été «victimes des barons du crime organisé et de fonctionnaires corrompus.» «Il y a beaucoup plus de journalistes tués dans des endroits en paix que dans des pays touchés par la guerre», précise la FIJ.
La FIJ, le manque d’action pour éradiquer l’impunité des meurtres et autres attaques visant les professionnels des médias ne fait qu’aggraver la violence dont ils sont victimes.