Attendu pour cet après midi, Le tribunal d’Alger a prononcé ce mardi 02 février 2016 son verdict dans l’affaire Sonatrach1, En effet, le fils de l’ancien PSG de Sonatrach, Mohamed Meziane, Réda Meziane ainsi que le président du Conseil d’administration de Contel Funkwerk, ont écopé chacun d’une peine de six (06) ans de prison ferme, ajoute la même source.
Belkacem Boumediene ex-President directeur général adjoint chargé des activités Amont du groupe Sonatrach, poursuivi pour son implication dans l'affaire "Sonatrach1" a été condamné à 5 ans de réclusion criminelle mardi par le tribunal criminel d'Alger.
Belkacem Boumediene a été également condamné à 500.000 DA d'amende.
Le représentant du parquet général avait, dans son réquisitoire, requis une peine de sept ans de réclusion criminelle assortie d'un million de DA d'amende .
19 personnes (15 personnes physiques et 4 personnes morales) dont des responsables du groupe Sonatrach et des entreprises nationales et étrangères sont impliquées dans l'affaire "Sonatrach1" dont le procès a débuté le 27 décembre 2015 au niveau du tribunal criminel d'Alger.
Les dernières plaidoiries se sont tenues mercredi dernier avec l'intervention des avocats de l'un des principaux accusés dans cette affaire, Belkacem Boumediene (PDG adjoint chargé de l'activité amont). La défense a plaidé l'acquittement et la réhabilitation de son client, estimant que "toutes les charges de gestion" qu'il a assumées dans le cadre des marchés, objet du procès, comptaient au titre des "missions qui lui ont été assignées et qu'il agissait sous les ordres du PDG de Sonatrach et du ministre de l'Energie et des mines de l'époque".
Des peines de prison d'une année à 15 ans avaient été requises par le représentant du ministère public contre 15 accusés et une amende de cinq millions de dinars contre quatre entreprises.
Le procès s'est tenu en présence de l'ensemble des collectifs de défense des 15 personnes et quatre sociétés impliquées dans cette affaire, ainsi que 110 témoins (deux témoins étant décédés) cités dans l'arrêt de renvoi.
Selon l'arrêt de renvoi, il s'agit de "trois gros marchés douteux" conclus entre le groupe Sonatrach et les sociétés impliquées dans l'affaire. Il s'agit des projets d'acquisition d'équipements de télésurveillance et de protection électronique des complexes du groupe pétrolier à travers le pays, du gazoduc devant relier l'Algérie à l'Italie (Sardaigne) et du projet de réhabilitation de l'ancien siège du Groupe Sonatrach (rue Ahmed Gharmoul Alger).
Belkacem Boumediene ex-President directeur général adjoint chargé des activités Amont du groupe Sonatrach, poursuivi pour son implication dans l'affaire "Sonatrach1" a été condamné à 5 ans de réclusion criminelle mardi par le tribunal criminel d'Alger.
Belkacem Boumediene a été également condamné à 500.000 DA d'amende.
Le représentant du parquet général avait, dans son réquisitoire, requis une peine de sept ans de réclusion criminelle assortie d'un million de DA d'amende .
19 personnes (15 personnes physiques et 4 personnes morales) dont des responsables du groupe Sonatrach et des entreprises nationales et étrangères sont impliquées dans l'affaire "Sonatrach1" dont le procès a débuté le 27 décembre 2015 au niveau du tribunal criminel d'Alger.
Les dernières plaidoiries se sont tenues mercredi dernier avec l'intervention des avocats de l'un des principaux accusés dans cette affaire, Belkacem Boumediene (PDG adjoint chargé de l'activité amont). La défense a plaidé l'acquittement et la réhabilitation de son client, estimant que "toutes les charges de gestion" qu'il a assumées dans le cadre des marchés, objet du procès, comptaient au titre des "missions qui lui ont été assignées et qu'il agissait sous les ordres du PDG de Sonatrach et du ministre de l'Energie et des mines de l'époque".
Des peines de prison d'une année à 15 ans avaient été requises par le représentant du ministère public contre 15 accusés et une amende de cinq millions de dinars contre quatre entreprises.
Le procès s'est tenu en présence de l'ensemble des collectifs de défense des 15 personnes et quatre sociétés impliquées dans cette affaire, ainsi que 110 témoins (deux témoins étant décédés) cités dans l'arrêt de renvoi.
Selon l'arrêt de renvoi, il s'agit de "trois gros marchés douteux" conclus entre le groupe Sonatrach et les sociétés impliquées dans l'affaire. Il s'agit des projets d'acquisition d'équipements de télésurveillance et de protection électronique des complexes du groupe pétrolier à travers le pays, du gazoduc devant relier l'Algérie à l'Italie (Sardaigne) et du projet de réhabilitation de l'ancien siège du Groupe Sonatrach (rue Ahmed Gharmoul Alger).