Des dizaines d'étudiants ont pris part ce 1er février à une marche nocturne à Tizi-Ouzou, afin de dénoncer la situation qui règne actuellement au sein de leur université.
La marche a débuté à la cité universitaire de Boukhalfa, où des dizaines d'étudiants résidents sont sortis pour dénoncer la situation qu'ils vivent au sein de leur cité universitaire, entamant une marche vers la résidence du Wali située au centre ville de Tizi-Ouzou.Trois étudiants auraient été arrêtés au niveau d'un barrage par les services de la Brigade de Recherche et d'Intervention (BRI), suscitant ainsi l'intervention des étudiants résidents de la cité universitaire de Hasnaoua, qui sont sortis par dizaines pour occuper le centre-ville de Tizi-Ouzou.Les trois étudiants arrêtés ont été relâchés, précisent les organisateurs de cette marche.
Les étudiants se sont ensuite dirigés vers la cité universitaire de Hasnaoua, où la marche a pris fin, devant un important dispositif des forces de sécurité, déployées au centre ville de Tizi-Ouzou et ses alentours. Les protestataires ont appelé au départ immédiat du recteur de l'université.
Pour rappel, cette marche intervient dans un contexte tendu, alors que les étudiants et l'administration de l'université se livrent un bras de fer depuis plusieurs semaines.
La marche a débuté à la cité universitaire de Boukhalfa, où des dizaines d'étudiants résidents sont sortis pour dénoncer la situation qu'ils vivent au sein de leur cité universitaire, entamant une marche vers la résidence du Wali située au centre ville de Tizi-Ouzou.Trois étudiants auraient été arrêtés au niveau d'un barrage par les services de la Brigade de Recherche et d'Intervention (BRI), suscitant ainsi l'intervention des étudiants résidents de la cité universitaire de Hasnaoua, qui sont sortis par dizaines pour occuper le centre-ville de Tizi-Ouzou.Les trois étudiants arrêtés ont été relâchés, précisent les organisateurs de cette marche.
Les étudiants se sont ensuite dirigés vers la cité universitaire de Hasnaoua, où la marche a pris fin, devant un important dispositif des forces de sécurité, déployées au centre ville de Tizi-Ouzou et ses alentours. Les protestataires ont appelé au départ immédiat du recteur de l'université.