L'organisation mondiale de la production du vin vient de publier des statistiques sur les compétences qu'elle commande d'où elle révèle les capacités de production dont l'Algérie dispose. D'une part, ces chiffres reflètent l'image d'une Algérie très profonde, d'une autre part, ils risquent de contraindre les conservateurs qui essayent de donner l'image d'une Algérie conservatrice.
En effet, avec 627 000 Hectolitres de production du vin par année, et donc 62 millions et 700 000 litres, où elle exporte 800 000 Hectolitres annuellement, l'Algérie est classé 2eme en Afrique par sa production de la boisson alcoolisée, et 5eme en terme d'exportation que rapporte le rapport de ladite organisation. Inquiétée, cette dernière a émit que les algériens consomment 61 000 Hectolitres de boisson alcoolisée par année.
Le même rapport émet que 10,9 litres est la moyenne de consommation de chaque algérien, et c'est donc un chiffre qui classe l'Algérie à la 11ème place en terme de consommation de l'alcool au niveau mondial.
La même organisation prétend que la taux de production de la boisson alcoolisée est en hausse en Algérie, comparé aux années précédentes. Notamment, selon le quotidien El Khabar, en raison de l'expansion des terrains conçus pour exploiter cette ressource.
L'ordonnance de cette organisation pour les autorités publiques serait de "développer les normes de l'exportation du vin à l'extérieur du pays, du temps que les données du secteur de l'agriculture ne permettent pas à l'Algérie de défier un quelconque autre pays vu le déficit des moyens et de la devise commodes pour faire face à un défi"
A rappeler, qu'au moment où l'ex ministre du commerce, Amara Benyounes, avait ordonné de libéraliser la vente de la boisson alcoolisée en Algérie en annulant le titre de Licence dans ce domaine commercial, a, toutefois, soulevé une marré de critiques et d'opposition par les islamistes, modérés et conservateurs, en Algérie. Un fait qui a conduit le Premier Ministre, Abdelmalek Sellal, à se soumettre à la loi des islamistes et d'annuler la décision prise par son ex-ministre. Ces chiffres répondront aux prétentions de ces conservateurs et ne leur plairont pas, certes... Mais révélateurs tout de même d'une excessive adoration. Remarque, la modération n'est guère le comportement connu dans ce pays. C'est ce qui favorise, en d'autres termes, la déviation vers la débauche... nous y reviendront, car cela ouvre carrément une autre part de débat.
En effet, avec 627 000 Hectolitres de production du vin par année, et donc 62 millions et 700 000 litres, où elle exporte 800 000 Hectolitres annuellement, l'Algérie est classé 2eme en Afrique par sa production de la boisson alcoolisée, et 5eme en terme d'exportation que rapporte le rapport de ladite organisation. Inquiétée, cette dernière a émit que les algériens consomment 61 000 Hectolitres de boisson alcoolisée par année.
Le même rapport émet que 10,9 litres est la moyenne de consommation de chaque algérien, et c'est donc un chiffre qui classe l'Algérie à la 11ème place en terme de consommation de l'alcool au niveau mondial.
La même organisation prétend que la taux de production de la boisson alcoolisée est en hausse en Algérie, comparé aux années précédentes. Notamment, selon le quotidien El Khabar, en raison de l'expansion des terrains conçus pour exploiter cette ressource.
L'ordonnance de cette organisation pour les autorités publiques serait de "développer les normes de l'exportation du vin à l'extérieur du pays, du temps que les données du secteur de l'agriculture ne permettent pas à l'Algérie de défier un quelconque autre pays vu le déficit des moyens et de la devise commodes pour faire face à un défi"
A rappeler, qu'au moment où l'ex ministre du commerce, Amara Benyounes, avait ordonné de libéraliser la vente de la boisson alcoolisée en Algérie en annulant le titre de Licence dans ce domaine commercial, a, toutefois, soulevé une marré de critiques et d'opposition par les islamistes, modérés et conservateurs, en Algérie. Un fait qui a conduit le Premier Ministre, Abdelmalek Sellal, à se soumettre à la loi des islamistes et d'annuler la décision prise par son ex-ministre. Ces chiffres répondront aux prétentions de ces conservateurs et ne leur plairont pas, certes... Mais révélateurs tout de même d'une excessive adoration. Remarque, la modération n'est guère le comportement connu dans ce pays. C'est ce qui favorise, en d'autres termes, la déviation vers la débauche... nous y reviendront, car cela ouvre carrément une autre part de débat.