Le bras de fer enclenché depuis quelque temps entre les étudiants de l'Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou (UMMTO) et le rectorat, semble continuer.En effet les étudiants sont une nouvelle fois revenus à la charge en dénonçant la situation "chaotique" que vit leur université, dans une déclaration rédigée le 30 janvier et signée par la Coordination Locale des Étudiants (CLE).
Dans cette déclaration, intervenant un peu plus d'une semaine après la publication d'un communiqué du rectorat de l'UMMTO menaçant de sanctionner "les meneurs" de la grève, les étudiants ont tenu à dénoncer la gestion "catastrophique" de l'université par le recteur, ainsi que "les campagne de propagande, de diffamation, de désinformation et d'intox contre toute action syndicale avec les manière les plus condamnables".Les étudiants ont également mis le point dans cette déclaration sur "le refus continuel de débat du recteur avec les représentants des étudiants" ainsi que sur "l'ingérence du wali dans les affaires de l'université".Les étudiants ont en outre réaffirmé leur volonté et leur consentement à un débat avec les représentants de l'administration: "En tout état de cause, la Coordination Locale des Étudiants (CLE) est disposée à débattre publiquement, en présence de la presse avec les responsables de la crise profonde qui couve au sein de l'université", peut-on lire dans la même déclaration.
Outre cette déclaration, les étudiantes résidentes de la cité universitaire de Bastos ont tenu à dénoncer "l'insécurité" qui règne au sein de leur résidence et ont appelé à une marche pour le dimanche 31 janvier à 20H30, elles ont également annoncé la projection de vidéos montrant les événements qui se seraient déroulé le 26 janvier passé en présence de la presse.
Il est par ailleurs à préciser que l'université de Tizi-Ouzou vit une période de tensions qui dure depuis plusieurs semaines, notamment avec l'agression d'un étudiant sur le campus universitaire de Hasnaoua par des agents de sécurité.
Dans cette déclaration, intervenant un peu plus d'une semaine après la publication d'un communiqué du rectorat de l'UMMTO menaçant de sanctionner "les meneurs" de la grève, les étudiants ont tenu à dénoncer la gestion "catastrophique" de l'université par le recteur, ainsi que "les campagne de propagande, de diffamation, de désinformation et d'intox contre toute action syndicale avec les manière les plus condamnables".Les étudiants ont également mis le point dans cette déclaration sur "le refus continuel de débat du recteur avec les représentants des étudiants" ainsi que sur "l'ingérence du wali dans les affaires de l'université".Les étudiants ont en outre réaffirmé leur volonté et leur consentement à un débat avec les représentants de l'administration: "En tout état de cause, la Coordination Locale des Étudiants (CLE) est disposée à débattre publiquement, en présence de la presse avec les responsables de la crise profonde qui couve au sein de l'université", peut-on lire dans la même déclaration.
Outre cette déclaration, les étudiantes résidentes de la cité universitaire de Bastos ont tenu à dénoncer "l'insécurité" qui règne au sein de leur résidence et ont appelé à une marche pour le dimanche 31 janvier à 20H30, elles ont également annoncé la projection de vidéos montrant les événements qui se seraient déroulé le 26 janvier passé en présence de la presse.
Il est par ailleurs à préciser que l'université de Tizi-Ouzou vit une période de tensions qui dure depuis plusieurs semaines, notamment avec l'agression d'un étudiant sur le campus universitaire de Hasnaoua par des agents de sécurité.