La politique d'austérité adoptée et assumée par le gouvernement algérien oblige, le budget de la wilaya de Tizi Ouzou a été réduit de 40% selon le wali qui a annoncé la mesure lors de la session de l’APW tenue, mardi dernier, à l’hémicycle Rabah Aïssat.
En effet, les subventions affectées par l’Etat à la wilaya de Tizi Ouzou pour l’année 2016 ont été réduites de 40% par rapport à l’année dernière«C’est une année spéciale, pas comme les autres, en raison des restrictions budgétaires décidées par le gouvernement», dira le chef de l’exécutif de wilaya dont les propos ont été rapporté par El WATAN.
Le wali de Tizi Ouzou, plaide pour une nouvelle politique d'octroie de subvention «Nous devons unir nos efforts pour venir à bout des problèmes qui freinent le développement local. Seulement 50 milliards de ressources propres entrent dans les caisses de la wilaya. Les programmes n’ont pas été réalisés comme voulu. Il n’est pas facile de trouver du foncier pour l’implantation des projets. La plupart des terres sont de statut privé. Les programmes de développement doivent être revus avec les comités de village, selon les priorités.
Désormais, les subventions seront octroyées sur la base de critères objectifs, comme le nombre d’habitants, la répartition de la population sur le territoire, les ressources communales, le reste à réaliser, qu’on appliquera à partir d’un certain seuil. De nombreuses opérations sur PCD (Plans communaux de développement) ne sont pas assez avancées. Le déficit est terrible au niveau de certaines communes, notamment en ce qui concerne les infrastructures de jeunes.
Hormis les stades dits «matico» et de petites salles de sport, il n’y a rien. Nous devons orienter nos fonds vers le rattrapage et la mise à niveau en sériant les opérations prioritaires», annonce le wali. Il a plaidé, en outre, pour l’achèvement des programmes lancés pour «assainir la nomenclature». «Nous devons élaborer une carte des besoins. Il faut que notre wilaya soit attractive pour fixer les populations et les investisseurs. Le minimum pour un territoire attractif est le désenclavement, les routes, l’électricité, le gaz, l’école pour les enfants, la couverture sanitaire, un assainissement fiable, l’accès à internet via la fibre optique», poursuit-il.
De son coté le président d'APW, Mohamed Klalèche, a dressé un tableau peu reluisant de l’état des lieux des projets structurants.
En effet, les subventions affectées par l’Etat à la wilaya de Tizi Ouzou pour l’année 2016 ont été réduites de 40% par rapport à l’année dernière«C’est une année spéciale, pas comme les autres, en raison des restrictions budgétaires décidées par le gouvernement», dira le chef de l’exécutif de wilaya dont les propos ont été rapporté par El WATAN.
Le wali de Tizi Ouzou, plaide pour une nouvelle politique d'octroie de subvention «Nous devons unir nos efforts pour venir à bout des problèmes qui freinent le développement local. Seulement 50 milliards de ressources propres entrent dans les caisses de la wilaya. Les programmes n’ont pas été réalisés comme voulu. Il n’est pas facile de trouver du foncier pour l’implantation des projets. La plupart des terres sont de statut privé. Les programmes de développement doivent être revus avec les comités de village, selon les priorités.
Désormais, les subventions seront octroyées sur la base de critères objectifs, comme le nombre d’habitants, la répartition de la population sur le territoire, les ressources communales, le reste à réaliser, qu’on appliquera à partir d’un certain seuil. De nombreuses opérations sur PCD (Plans communaux de développement) ne sont pas assez avancées. Le déficit est terrible au niveau de certaines communes, notamment en ce qui concerne les infrastructures de jeunes.
Hormis les stades dits «matico» et de petites salles de sport, il n’y a rien. Nous devons orienter nos fonds vers le rattrapage et la mise à niveau en sériant les opérations prioritaires», annonce le wali. Il a plaidé, en outre, pour l’achèvement des programmes lancés pour «assainir la nomenclature». «Nous devons élaborer une carte des besoins. Il faut que notre wilaya soit attractive pour fixer les populations et les investisseurs. Le minimum pour un territoire attractif est le désenclavement, les routes, l’électricité, le gaz, l’école pour les enfants, la couverture sanitaire, un assainissement fiable, l’accès à internet via la fibre optique», poursuit-il.
De son coté le président d'APW, Mohamed Klalèche, a dressé un tableau peu reluisant de l’état des lieux des projets structurants.