Après la grève du 20 Janvier qui a paralysé l'ensemble des structures de l'université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou (UMMTO), le rectorat a publié un communiqué dans lequel il condamne cette grève tout en déclarant qu'il continuera "à sanctionner les auteurs".
"La direction de l'Université Mouloud Mammeri tient à informer l'ensemble de la communauté universitaire que durant la semaine en cours, le même groupe d'étudiants ayant fait l'objet de sanctions disciplinaires, se prévalant du sigle CLE tente de perturber par des fermetures intempestives le déroulement de la pédagogie sur les différents campus de l'université, et de l'activité administrative du rectorat" peut on lire dans le communiqué qui ajoute que "la plupart de ces étudiants font dans le carriérisme avec plus de 10 années dans un même cursus pour certains", le rectorat accuse les organisateurs de la grève de chercher à "ternir" l'image de l'université et d'en faire "un sanctuaire de grève permanente".
le communiqué accuse également les organisateurs de cette grève d'être des éléments perturbateurs qui "passent le claire de leurs temps a diffamer et à désinformer à travers l'affichage clandestin", tout en promettant de sanctionner " les auteurs des perturbations".
De leur côté, les étudiants se sont indignés face à ces déclarations qu'ils considèrent comme des "menaces" , et promettent de rédiger une déclaration pour y répondre "très prochainement".
"La direction de l'Université Mouloud Mammeri tient à informer l'ensemble de la communauté universitaire que durant la semaine en cours, le même groupe d'étudiants ayant fait l'objet de sanctions disciplinaires, se prévalant du sigle CLE tente de perturber par des fermetures intempestives le déroulement de la pédagogie sur les différents campus de l'université, et de l'activité administrative du rectorat" peut on lire dans le communiqué qui ajoute que "la plupart de ces étudiants font dans le carriérisme avec plus de 10 années dans un même cursus pour certains", le rectorat accuse les organisateurs de la grève de chercher à "ternir" l'image de l'université et d'en faire "un sanctuaire de grève permanente".
le communiqué accuse également les organisateurs de cette grève d'être des éléments perturbateurs qui "passent le claire de leurs temps a diffamer et à désinformer à travers l'affichage clandestin", tout en promettant de sanctionner " les auteurs des perturbations".
De leur côté, les étudiants se sont indignés face à ces déclarations qu'ils considèrent comme des "menaces" , et promettent de rédiger une déclaration pour y répondre "très prochainement".