L'Algérie vit une véritable crise économique qui menace son avenir, avec la chute des prix du pétrole et la dévaluation du dinars avec un risque majeur d'une déstabilisation du front social qui subit ses derniers jours les conséquences de la dévaluation du dinar .En effet, il faut débourser pas moins de 20 billets de 1000 DA pour un billet de 100 euros.
Une situation qui inquiète les experts comme les industriels qui n'excluent pas une augmentation des prix si la situation perdure, à l'image du Président Directeur du groupe Cevital Issad Rebrab ainsi que plusieurs autres hommes d'affaires qui mettent en avant le prix de la matière première dans sa majorité importée.
Par ailleurs et selon une contribution du Professeur Abderrahmane MEBTOUL, docteur d'Etat, Professeur des Universités, Expert international et membre de conseils scientifiques de plusieurs institutions internationales, l'Algérie encourt le risque d'épuisement du FRR en 2017 et le retour au processus inflationniste. Selon lui, l’Algérie, avec la baisse du cours des hydrocarbures et le dérapage accéléré du dinar par rapport tant au dollar qu’à l’euro, ne le peut comprimer grâce aux importations qui, elles-mêmes, connaissent une restriction qui accélère ce processus. Un taux d’inflation élevé impliquera nécessairement le relèvement du taux d’intérêt bancaire pouvant freiner l’investissement, ne pouvant plus généraliser les taux d’intérêt bonifiés. Or la source de l’APS, organe officiel du gouvernement, en date du 24 janvier 2016 annonce une baisse de 80% durant uniquement les 10 premier mois de l’année 2015, de l’alimentation du fonds de régulation des recettes qui risque d’aller vers l’épuisement courant 2017.
Une situation qui inquiète les experts comme les industriels qui n'excluent pas une augmentation des prix si la situation perdure, à l'image du Président Directeur du groupe Cevital Issad Rebrab ainsi que plusieurs autres hommes d'affaires qui mettent en avant le prix de la matière première dans sa majorité importée.
Par ailleurs et selon une contribution du Professeur Abderrahmane MEBTOUL, docteur d'Etat, Professeur des Universités, Expert international et membre de conseils scientifiques de plusieurs institutions internationales, l'Algérie encourt le risque d'épuisement du FRR en 2017 et le retour au processus inflationniste. Selon lui, l’Algérie, avec la baisse du cours des hydrocarbures et le dérapage accéléré du dinar par rapport tant au dollar qu’à l’euro, ne le peut comprimer grâce aux importations qui, elles-mêmes, connaissent une restriction qui accélère ce processus. Un taux d’inflation élevé impliquera nécessairement le relèvement du taux d’intérêt bancaire pouvant freiner l’investissement, ne pouvant plus généraliser les taux d’intérêt bonifiés. Or la source de l’APS, organe officiel du gouvernement, en date du 24 janvier 2016 annonce une baisse de 80% durant uniquement les 10 premier mois de l’année 2015, de l’alimentation du fonds de régulation des recettes qui risque d’aller vers l’épuisement courant 2017.