DRS, le Département du Renseignement et de la Sécurité, ne fait plus parti des institution de l'Etat algérien, il a été dessous avec un décret présidentiel, pour laisser place au DSS, Direction des services de sécurité.
Par ailleurs, le chef d’état-major et vice-ministre de la Défense nationale n’aurait pas été associé au processus de restructuration des services de renseignement selon une confidentielle du journal électronique algériens Impact24 citant des sources proches de la présidence de la République qui précisent que le général Ahmed Gaïd Salah n’a été averti que très peu de temps avant que l’information ne soit divulguée par la presse.
«En plus d’avoir perdu les principales directions de l’ex-DRS, passées sous la coupe de l’état-major avant le départ du général Mohamed Medienne, Gaïd Salah ne savait pas que Athmane Tartag allait jouir d’un nouveau statut. Pour nombres d’observateurs, cette « marginalisation » est un signal fort adressé par le président de la République et son entourage au vice-ministre de la Défense.» rajoute la même source.
Les observateurs, politologues et experts, restent sceptiques envers ce changement d'acronyme qui selon eux, ne se veut q'une opération de «Marketing politique» et n'obéit à aucune stratégie de changement profond à l’intérieur du système.
Par ailleurs, le chef d’état-major et vice-ministre de la Défense nationale n’aurait pas été associé au processus de restructuration des services de renseignement selon une confidentielle du journal électronique algériens Impact24 citant des sources proches de la présidence de la République qui précisent que le général Ahmed Gaïd Salah n’a été averti que très peu de temps avant que l’information ne soit divulguée par la presse.
«En plus d’avoir perdu les principales directions de l’ex-DRS, passées sous la coupe de l’état-major avant le départ du général Mohamed Medienne, Gaïd Salah ne savait pas que Athmane Tartag allait jouir d’un nouveau statut. Pour nombres d’observateurs, cette « marginalisation » est un signal fort adressé par le président de la République et son entourage au vice-ministre de la Défense.» rajoute la même source.
Les observateurs, politologues et experts, restent sceptiques envers ce changement d'acronyme qui selon eux, ne se veut q'une opération de «Marketing politique» et n'obéit à aucune stratégie de changement profond à l’intérieur du système.